Comment puis-je adhérer à ce projet ?
Vous pouvez adhérer à ce projet en contactant l'un des partenaires ou en remplissant le formulaire disponible à l’adresse suivante : www.greenseeds.eu/fr/contact-fr
Quels avantages comporte l’adhésion à ce projet ?
Vous permettrez aux écoles isolées de devenir plus visibles et vous aiderez leurs élèves à exploiter au mieux leur situation, ainsi que leur éducation.
Quelle est la différence entre Webquest et SeedQuest ?
Les SeedQuests sont basées sur la méthodologie des Webquests mais ont été adaptées aux besoins des utilisateurs du projet Green S.E.E.D.S.
Est-ce que je recevrai une attestation à l’issue de ma formation/participation au projet ?
Oui, nous fournirons une attestation de participation au projet.
Si j'ai besoin d'aide/d’explications, à qui dois-je m'adresser ?
Un formulaire est disponible à l’adresse suivante : https://www.greenseeds.eu/fr/contact-fr
Dois-je payer des frais pour la formation/l'accès aux produits liés au projet?
Non, le matériel et les produits intellectuels sont disponibles gratuitement sur la plateforme du projet.
Les enseignants des écoles privées peuvent-ils participer aux activités du projet ?
Toutes les écoles et tous les enseignants qui ne sont pas partenaires du projet peuvent cependant y participer en tant que partenaires associés.
Pendant combien de temps pourrai-je accéder au matériel sur la plateforme web ?
Tout le matériel restera disponible gratuitement sur la plateforme pendant et après la réalisation du projet.
Notre école aimerait préparer différentes SeedQuests sur le même sujet, dans la catégorie nature et biodiversité, est-ce possible ?
Oui, vous pouvez ajouter autant de SeedQuests que vous le souhaitez. S'il s'agit d'une série, vous pouvez utiliser un titre similaire, en précisant « 1e partie », « 2e partie », etc. Chaque SeedQuest peut être modifiée par son créateur (propriétaire) et si vous souhaitez changer le propriétaire d'une SeedQuest, contactez-nous.
Est-il possible pour une classe de l'école primaire de travailler avec une classe de l’école moyenne (collège) sur la même SeedQuest
Oui, les élèves de différentes écoles peuvent facilement travailler ensemble sur la même SeedQuest. Les élèves n'ont pas besoin de saisir d'informations dans les SeedQuests pour les utiliser : il leur suffit de lire l'introduction, la consigne, ainsi que la procédure à suivre et d’utiliser les ressources proposées (liens, documents, vidéos) pour réaliser le travail, qui sera différent pour chaque SeedQuest. En effet, les élèves peuvent être amenés à créer une affiche, à rédiger un texte ou à enregistrer une vidéo, par exemple, mais sans devoir les télécharger sur SeedQuest : seul leur enseignant (et éventuellement leurs camarades de classe) pourront voir leur travail.
Si un enseignant change d’école en septembre, lui est-il possible de participer aux activités I.O. 2 ?
Oui, les SeedQuests seront accessibles au public afin que tout enseignant puisse les utiliser avec ses élèves, en accord avec les enseignants concernés.
Nos écoles peuvent-elles créer des puzzles ou des mots croisés sur des questions environnementales ?
Chaque classe développe ses propres méthodes. Le résultat du projet devant être une SeedQuest.
Peut-on intégrer le projet Green S.E.E.D.S. au programme scolaire de nos écoles ?
Oui et il est même recommandé de le faire pour aider votre école et diffuser plus largement le projet.
Les écoles qui participent peuvent-elles créer du nouveau matériel pédagogique sur les mêmes thèmes : la mer sans plastique ou le patrimoine économique et culturel des côtes ?
Bien sûr mais elles doivent garder à l'esprit que tout le matériel doit faire référence au sujet des SeedQuests produites et inclure le logo du projet, ainsi que celui du programme Erasmus+.
Dans une petite école, comment est-il possible de développer une communication positive entre les divers acteurs du projet (enseignant-enseignant, enseignant-élève, élève-élève, école-famille) ?
La communication est sans aucun doute l'un des aspects les plus importants pour les enseignants, en particulier pour les équipes pédagogiques des petites écoles. Pour une bonne communication, il est nécessaire de cultiver le respect mutuel, car chaque sujet collabore avec ses propres aptitudes et ses expériences au bon fonctionnement d'une réalité unique comme l’est celle d’une petite école. Le travail de chacun est indispensable et complète celui des collègues.
Cela signifie que chaque enseignant, conscient d'être un élément important pour le succès du projet commun, participe activement à la construction et au développement d'une communication positive et proactive. Chaque petite école reflète la dynamique d'une petite communauté, dans laquelle elle est généralement située. Les sujets concernés sont principalement les enseignants et les élèves. En partant de cette hypothèse, il est important de rappeler que l'alliance entre ces deux sujets est nécessaire au bon fonctionnement des activités d'enseignement, notamment au sein d'un groupe de personnes généralement restreint. La communication entre enseignants et élèves est la base du développement de cette alliance, car elle renforce la relation qui se crée chaque jour dans la salle de classe. Le partage de points de vue ou d'opinions est vraiment utile pour renforcer le respect mutuel et souligner combien la dynamique scolaire doit être basée sur des relations authentiques et constructives. Cela dit, au quotidien, écouter/entendre la voix des élèves n'est pas toujours facile : il peut être utile de mettre en place un « cercle démocratique », au sein duquel tous les sujets de la petite communauté peuvent participer. La formation du cercle est fondamentale, car tous les sujets sont à égale distance d'un point défini comme étant le centre et personne n’occupe de place dominante, toute hiérarchie est annulée. Chaque participant peut regarder les autres dans les yeux, dialoguer directement, sans intermédiaire. Le cercle ou l'assemblée est avant tout une pratique, qu’il faut exercer avant tout. Au début, il est conseillé de partir des thèmes proposés par les enfants, afin qu'ils se sentent impliqués et comprennent qu'ils peuvent être les principaux acteurs de ce moment. Généralement, ils porteront à la connaissance des participants des querelles, des problèmes ou feront des propositions. L'enseignant pourra orienter la discussion, en rappelant aux élèves de parler un à la fois et de continuer à s’écouter les uns les autres. Ce « jeu » peut également être utilisé pour partager des décisions. Il convient de préciser que travailler en cercle ne signifie pas déléguer aux élèves la responsabilité de gérer la classe multiple : il s’agit de les impliquer et de les écouter.
Les parents et la famille en général sont les principaux alliés pour accompagner, dans le respect mutuel des rôles, la croissance des élèves qui fréquentent nos écoles. Cette relation est souvent compliquée, en raison d'expériences, de croyances ou de points de vue différents. Développer une bonne communication implique un engagement quotidien et nécessaire pour gagner la confiance des familles. L'école, en tant qu'organisme éducatif fondamental, a le devoir de s'ouvrir au monde extérieur, pour promouvoir un dialogue de plus en plus efficace et constructif. Il est parfois nécessaire pour les enseignants de faire un pas en arrière, d'écouter inconditionnellement les besoins exprimés par les parents, puis de reconstruire les bases un dialogue qui reconnaît l'autorité et le rôle de l'école. Il est donc nécessaire de bien distinguer et définir les rôles avec les familles, même si cela implique un grand engagement.
Compte tenu de tous les problèmes liés à l'utilisation/abus d'Internet par les enfants aujourd'hui, est-il judicieux d'utiliser ces outils dans l'enseignement ? Quels pourraient-être les problèmes qu'un enseignant pourrait rencontrer en utilisant ces outils ?
L'utilisation d'outils Internet peut constituer une ressource importante, tant du point de vue de l'apprentissage que de l'enseignement.
Tout d'abord, des outils tels que Google Suite for Education peuvent être très utiles pour aider les enfants à prendre conscience du fait qu'il existe une utilisation productive et pas uniquement ludique de la technologie. En outre, s'ils sont introduits correctement, ces outils peuvent être exploités pour aider les enfants à prendre conscience du potentiel et des risques associés à ces technologies de plus en plus utilisées dans la société civile, ce qui peut développer la conscience numérique de ces jeunes citoyens. La bonne utilisation de ces pratiques à l'école peut constituer un bagage utile et durable pour les enfants. En outre, le potentiel de ces outils partagés peut amener les enfants à collaborer, à apprendre ensemble, à s'aider mutuellement pour rechercher, vérifier et évaluer des contenus ou des informations. Du point de vue de la sécurité, des outils comme G Suite sont donc précieux, car ils sont sûrs et contrôlables. Les enseignants peuvent décider quels outils à mettre à la disposition des élèves et les utiliser avec modération, pour encourager une utilisation correcte et responsable.
Dans un premier temps, l'utilisation du cloud et de la technologie peut sembler peu intuitive aux enseignants : en effet, cela est très différent de l’informatique traditionnelle basée sur des logiciels installés localement sur un PC et qui semble garantir un contrôle ou une sécurité apparemment majeurs.
En réalité, après une brève initiation, on constate que l'utilisation des applications G Suite est intuitive et facile à comprendre. Une fois que l'on a compris les particularités de cette façon de travailler, on se rend compte que sa praticité et sa polyvalence récompensent amplement l'effort d'apprentissage. Ces applications permettent d'ouvrir l'espace et le temps de la classe au-delà des limites traditionnelles de l'école : les enseignants et les élèves peuvent ainsi interagir et collaborer de façon permanente. Chacun selon ses propres horaires et disponibilités.
Il faut cependant accepter de se former pour apprendre à communiquer et à s'exprimer d'une manière et dans un langage qui, au début, peuvent paraître un peu éloignés de ce que l’on connaît déjà.